Cette semaine, j’ai eu un vrai coup de cœur pour une invention artisanale inspirée d’un concept ancestral : la marmite norvégienne, un procédé de cuisson lente sans apport d’énergie supplémentaire. Ce principe revient aujourd’hui en force, notamment grâce à l’initiative de Céline Bui Duy Minh, installée à Bagnoles-de-l’Orne, qui propose des versions cousues main via l’association Ecofricot. Pour mieux comprendre cette technique vieille de plusieurs siècles, un article très complet du Monde est disponible sur ce lien. Et, pour les curieux qui veulent pousser plus loin, Solar Brother explique le fonctionnement dans le détail juste et nous vous en parlions déjà dans cet article. Bref, un concept aussi simple qu’efficace… et que je rêve déjà d’essayer pendant mes longues journées à écrire à Réau.
Une invention ancestrale remise au goût du jour
Le principe est d’une simplicité presque fascinante. On porte un plat à ébullition pendant quelques minutes, puis on place la cocotte dans un contenant isolé, en l’occurrence, la création de Céline, rembourrée de laine de mouton et confectionnée à la main, entièrement déhoussable et réversible. La chaleur emmagasinée termine la cuisson durant plusieurs heures, sans consommer la moindre goutte d’énergie supplémentaire. Pour moi qui suis toujours à la recherche de techniques low-tech (et de recettes qui se cuisent toutes seules pendant que j’écris mes articles ou que je m’offre un peu de repos), ce genre d’invention coche toutes les cases : économique, écologique, silencieuse et un peu magique.
Une solution idéale pour les plats mijotés et les foyers soucieux de sobriété
La marmite norvégienne a un autre avantage : elle est parfaite pour les plats mijotés qui, d’habitude, tournent des heures sur le feu. Ragoûts, pot-au-feu, légumineuses, poule au pot… tout y passe. Et, quand on sait à quel point les temps de cuisson peuvent faire grimper la facture d’électricité, on comprend l’intérêt de remettre au goût du jour ce procédé intelligent. Céline l’a d’ailleurs bien compris : dans sa boutique Ecofricot, elle sensibilise les visiteurs à la sobriété énergétique et à l’usage des basses technologies. La démarche m’a immédiatement parlé… surtout moi qui adore tester des innovations utiles, qu’elles soient high-tech ou totalement low-tech comme ici.
Que faut-il retenir de la marmite norvégienne ?
- Cuisson douce sans énergie après ébullition
- Produit artisanal, durable et entièrement réversible
- Isolation performante grâce à la laine de mouton
- Idéale pour plats mijotés et cuissons longues
- Une alternative low-tech accessible et écologique
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Pourquoi cette invention ancienne pourrait s’imposer cet hiver ?
Avec le retour du froid, on cherche tous des solutions pour cuisiner bon, sain et économique. La marmite norvégienne répond exactement à ce besoin : elle réduit la consommation d’énergie, évite de laisser un feu tourner pendant des heures et permet une cuisson d’une grande douceur. Une solution presque parfaite pour ceux qui, comme moi, jonglent entre mille projets et aiment que la cuisine travaille un peu toute seule. Pour plus de détails sur ce principe low-tech, n’hésitez pas à consulter les dossiers que nous vous présentions dans cet article. Et vous, seriez-vous prêts à adopter cette cuisson sans énergie pour vos plats mijotés cet hiver ? On adore vous lire ! Alors si le sujet vous inspire, cliquez ici pour publier un commentaire . Une erreur s’est glissée ? Vous pouvez également nous en faire part !