Stephen Hawking: Pour ne pas disparaître, l’homme doit être capable de vivre sur une autre planète

Stephen Hawking vient de lancer un appel urgent pour la poursuite des programmes d’exploration spatiale. Selon Hawking, si l’homme n’est pas capable de vivre sur une autre planète d’ici le prochain millénaire, notre espèce serait vouée à disparaître.

Nous devons continuer à explorer l’espace pour le bien de l’humanité

a récemment déclaré Hawking lors d’une manifestation à l’hôpital Cedars-Sinai Medical Center de Los Angeles.

Hawking est un partisan de longue date de l’exploration spatiale. Il estime que notre planète est devenue trop fragile pour continuer à abriter et subvenir aux besoins de toute la population humaine.

En 2011, il avait annoncé au quotidien Winnipeg Free Pres.

La démographie et notre utilisation des ressources limitées de la planète sont en croissance exponentielle, ainsi que notre capacité technique à changer l’environnement.

Notre code génétique porte encore les traces d’égoïsme et d’instincts agressifs qui étaient nécessaires à notre survie. Il sera difficile, voire impossible d’éviter une catastrophe au cours des cent prochaines années, sans parler du prochain millénaire…

Hawking a également ajouté:

 Notre seule chance de survie à long terme est de ne pas rester tapi sur la planète Terre, mais de nous propager dans l’espace.

Malheureusement, l’exploration spatiale n’est pas épargnée par la crise financière mondiale. Les réductions de dépenses ont été très importantes. A titre d’exemple, la NASA a réduit ses dépenses de 300 millions de dollars juste pour cette année.

Cependant, l’exploration doit absolument continuer. Récemment, le programme Kepler a permis de découvrir des dizaines de planètes potentiellement habitables. Et avec les nouvelles technologies, telles que les moteurs à fusion, le voyage vers ces planètes pourrait être possible d’ici quelques centaines d’années.

Combien de personnes sont sur ​​Mars en ce moment ?

C’est ce que nous réalisons aujourd’hui qui va déterminer notre futur: Nous devons continuer à regarder vers les étoiles.

Source

Plus de 900 000 abonné(e)s nous suivent sur les réseaux ! Pourquoi pas vous ? Abonnez-vous à notre Newsletter ou suivez-nous sur Google News et sur WhatsApp pour ne manquer aucune invention et innovation !

Alexandre Bonazzi

J'ai presque un demi-siècle et papa de deux grandes filles. J'ai fait des études en droit et travaillé pendant 30 ans dans une société d'études et de conseil en marketing. Aujourd'hui, je suis créateur de site internet pour les petites entreprises. Je suis passionné par les nouvelles technologies, la High-tech et la pop culture en général. J'ai fondé le site NeozOne en 1999 et depuis je partage avec vous (bénévolement) mes astuces, mes tests et quelques fois mes humeurs, je modère également les commentaires de NeozOne. Je suis par ailleurs amateur de cinéma, série TV, les jeux de plateaux et les jeux de rôles. N'hésitez pas à me contacter directement par courrier électronique pour toute question

Un commentaire

  1. L’homme
    ferait mieux d’apprendre à vivre correctement sur sa planète, notamment en régulant ses naissances, mais je
    comprends, vu l’énorme difficulté que ça soulève, qu’on se tourne vers
    l’exploration spatiale. Résoudre d’énormes problèmes techniques parait
    plus facile que de moraliser notre mode de vie et rendre l’homme raisonnable ! Et ça, cette pagaille, repose sur quoi ? Prolifération de l’homme au détriment des ressources… Et puis la loi du
    marché, course au profit effrénée, au détriment de toute autre considération. Voilà ce qui rend notre survie impossible, si nous ne changeons pas. Vous introduisez la régulation des naissances, vous enlevez la notion de profit, vous la remplacez par
    celle de coopération et d’entraide, et observez tout ce qui change,
    immédiatement. Oui, de tels changements demanderaient une modification profonde des mentalités. C’est pour ça qu’il parait plus abordable de partir à Tataouine !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


Bouton retour en haut de la page