
Ah, la paperasse ! Ce doux cauchemar qui hante les artisans, les commerçants, les autoentrepreneurs et tous les courageux qui dirigent une petite entreprise. Je ne vais pas vous mentir : même si je ne suis pas encore concernée par l’obligation d’utiliser un logiciel de facturation certifié (mon activité n’est pas assujettie à la TVA), cette question me trotte de plus en plus dans la tête. Parce que bon, entre nous, avec les caisses de l’État qui font grise mine, je sens bien que ce type d’obligation pourrait s’étendre un jour ou l’autre. Et, franchement, je préfère anticiper plutôt que d’attendre une amende salée pour m’en préoccuper. Alors, quitte à m’intéresser à ce sujet, autant le partager avec vous, surtout si vous êtes déjà concerné. Car oui, il existe des solutions bien pratiques, comme ce logiciel de facturation électronique proposé par JLOGICIELS, qui coche toutes les cases légales tout en vous simplifiant la vie. Et, croyez-moi, après avoir plongé dans le sujet, j’ai compris que ce n’est pas juste une histoire de loi… c’est aussi une question de sérénité !
Depuis 2018, la loi ne laisse plus de place au doute
Depuis le 1ᵉʳ janvier 2018, la loi finances de 2016 impose à toutes les entreprises assujetties à la TVA d’utiliser un logiciel de facturation certifié. Officiellement, l’idée est de lutter contre la fraude à la TVA, qui coûte des milliards d’euros chaque année. Officieusement, on peut aussi y voir une manière d’inciter tout le monde à passer à la vitesse supérieure en matière de gestion. En pratique, si vous êtes artisan, commerçant ou à la tête d’une TPE/PME, et que vous facturez des particuliers, vous devez utiliser un logiciel conforme. Oubliez donc le bon vieux carnet à souches, les factures faites sous Excel ou les bouts de papier volants griffonnés à la va-vite : la loi exige que votre logiciel respecte quatre règles strictes :
- Inaltérabilité : impossible de modifier une facture en douce sans laisser de trace.
- Sécurisation : vos données doivent être à l’abri des manipulations frauduleuses.
- Conservation : tout doit être stocké plusieurs années (les joies de l’archivage…).
- Archivage : pour faciliter les contrôles éventuels.
En cas d’oubli ou d’ignorance (volontaire ou non), l’amende grimpe à 7 500 €. Et, vous avez ensuite 60 jours pour vous mettre en règle. Rien que d’y penser, j’en ai mal au porte-monnaie !
Certifié ou auto-attesté ? Ma préférence va clairement à la solution la plus sereine
En creusant un peu, j’ai découvert qu’il existe deux grandes familles de logiciels de facturation : ceux qui sont certifiés par des organismes officiels comme l’AFNOR ou le LNE, et ceux qui s’auto-attestent conformes. Alors oui, sur le papier, les deux se ressemblent. Mais, entre nous, je préfère largement une solution qui a passé un contrôle rigoureux et indépendant. Un logiciel certifié, c’est un peu comme une voiture passée au contrôle technique : on sait qu’elle tient la route. Et, surtout, en cas de contrôle fiscal, vous pourrez dormir sur vos deux oreilles. C’est justement ce que propose JLOGICIELS avec ses logiciels certifiés NF203 par l’AFNOR. Cette certification garantit que toutes les règles sont respectées, et que le logiciel a été conçu pour durer, en assurant un vrai suivi après-vente. Clairement, si je devais sauter le pas, ce serait vers ce genre de solution, afin d’éviter les mauvaises surprises… Parce que, soyons honnêtes, une auto-attestation signée par l’éditeur lui-même, cela rassure moyen.
La gestion facilitée, un atout aussi précieux que la conformité
Au-delà de l’aspect légal (et de l’angoisse des contrôles fiscaux), ce que j’ai essentiellement retenu, c’est qu’un bon logiciel de facturation certifié peut vraiment changer la vie. Quand on est à la tête d’une petite entreprise, on doit jongler entre mille casquettes : entrepreneur, commercial, secrétaire, comptable… et j’en passe ! Et, très franchement, la paperasse, ce n’est pas ce qui me passionne. Un logiciel bien pensé permet de gagner un temps fou :
- Création rapide des devis et des factures.
- Signature électronique intégrée (fini les impressions et les envois interminables).
- Suivi des paiements automatisé (adieu les relances manuelles).
- Gestion des stocks et des fournisseurs en quelques clics.
En plus, les outils de JLOGICIELS s’adaptent à toutes sortes d’activités : artisanat, bâtiment, commerce, services, immobilier… et même aux organismes de formation. L’autre bonne surprise, c’est que tout est accessible aussi bien sur ordinateur que sur tablette ou smartphone. Parfait pour moi qui adore travailler parfois sur mon canapé, tasse de café à la main. Et, si vous avez des besoins très spécifiques, leur équipe peut personnaliser les logiciels ou créer des solutions sur mesure, avec en prime une vraie assistance téléphonique et ce n’est pas un luxe quand on galère avec un logiciel !
JLOGICIELS : une entreprise française qui sait parler aux petites structures
En fouinant un peu plus, j’ai découvert que JLOGICIELS n’est pas une boîte sortie de nulle part. Basée à Toulouse depuis 2005, elle accompagne depuis plus de 17 ans les petites entreprises comme les nôtres, avec des solutions adaptées, qu’on soit artisan, commerçant, autoentrepreneur ou gérant d’une PME. Leur point fort ? Des logiciels de gestion complets et certifiés pour la facturation électronique, connectés au Portail Public de Facturation (PPF), mais aussi plein de modules utiles : gestion des stocks, synchronisation bancaire, agenda, gestion des congés, envoi de SMS, notes de frais, etc. Ils proposent même des passerelles pour relier leur logiciel à d’autres outils, ou encore des espaces privés pour vos clients et du paiement en ligne. Le tout, avec des équipes 100 % françaises, accessibles et réactives. Un vrai partenaire de confiance, et ça, dans le monde du numérique, c’est devenu plutôt rare !
Mon verdict : mieux vaut anticiper que subir
Même si, aujourd’hui, je ne suis pas encore concernée par cette obligation (vive les régimes sans TVA… pour l’instant), je sais que ça pourrait bien changer, vu la tendance actuelle. Et, honnêtement, plus je me penche sur la question, plus je me dis que ce type de logiciel représente un investissement malin : il sécurise l’activité, fait gagner du temps, et évite des sueurs froides en cas de contrôle. En bref, que vous soyez déjà concerné par la loi ou simplement prévoyant comme moi, adopter un logiciel certifié, c’est un choix gagnant sur toute la ligne. Alors, dites-moi : êtes-vous sûr que votre logiciel de facturation est prêt pour un contrôle fiscal ? Moi, je crois que je vais continuer à y réfléchir sérieusement, afin d’être prête avant que l’État ne vienne frapper à ma porte… Je vous invite à partager votre avis, vos remarques ou nous signaler une erreur dans le texte, cliquez ici pour publier un commentaire .
Publi-rédactionnel