
La nouvelle n’a pas pu vous échapper, surtout si vous nous suivez sur NeozOne, car nous vous avons souvent parlé du Thermomix : lancement, accessoires, inconvénients, les sujets n’ont pas manqué ! Depuis le lancement de son premier modèle, il est devenu la Ferrari des cuisines modernes et s’invite même dans les cuisines de grands chefs. Ce que l’on sait moins, c’est que le Thermomix, robot culinaire phare de Vorwerk, n’est pas seulement une star des chefs étoilés et des amateurs de recettes maison. Il est aussi le poumon économique de Cloyes-les-Trois-Rivières. Dans cette petite commune d’Eure-et-Loir se fabriquent plus de 10 000 exemplaires par jour. Vendu autour de 1 499 €, son dernier modèle, le Thermomix, est aussi une aubaine pour ces habitants, qui vivent grâce à lui, et profitent d’infrastructures ! Décryptage.
Cloyes-les-Trois-Rivières : un village rythmé par le Thermomix
Imaginez un village paisible, entouré de rivières, surveillé par un château, et où chaque bruit d’usine rappelle un repas qui se prépare à l’autre bout du monde. Depuis 1961, l’usine Vorwerk-Semco fabrique le Thermomix sur place, avec plus de 400 salariés. Quand un appareil se vend en Australie, en Amérique latine ou en Allemagne, c’est un emploi consolidé en Eure-et-Loir. Et, les habitants le savent bien : piscine, gymnase, maison de santé, beaucoup d’infrastructures locales sont financées par les impôts issus de cette activité florissante comme le rapporte notre source.
Innovation industrielle et expansion locale
La success story ne s’arrête pas là. Après la COVID-19, période où les ventes ont bondi de 25 %, Vorwerk a lancé un plan d’expansion massif : un deuxième site à Donnemain-Saint-Mamès (28) avec 129 millions d’euros investis, et bientôt un troisième à La Chapelle-du-Noyer (28), dédié à la logistique. Autant dire que le Thermomix ne fait pas que mijoter des soupes, il concocte aussi un triptyque industriel unique au cœur d’un territoire rural.
Ce qu’il faut retenir
- Thermomix = emploi local : chaque appareil vendu à l’étranger génère un emploi ou un service public en Eure-et-Loir.
- Vorwerk investit lourdement : deux nouvelles usines, logistique incluse, pour accompagner la demande mondiale.
- Le TM7 est arrivé : écran plus grand, fonctionnement plus silencieux, mises à jour logicielles intégrées.
- Offre de reprise jusqu’au 24 août : 450 € pour un TM6, 250 € pour un TM5, 150 € pour un TM31.
- Avis partagés : certains préfèrent garder leurs anciens modèles, parfaitement fonctionnels.
TM7 : la dernière innovation et un pari risqué ?
Le Thermomix TM7 mise sur un design élégant, une intelligence logicielle évolutive et une ergonomie repensée. De quoi séduire les passionnés de cuisine connectée. Mais, attention : si l’offre de reprise peut sembler alléchante, beaucoup d’utilisateurs soulignent qu’ils récupéreraient davantage en revendant leur ancien robot sur des plateformes comme Le Bon Coin. En effet, pour tout achat d’un Thermomix TM7, Vorwerk propose une offre de reprise valable jusqu’au 24 août. La marque allemande reprend ainsi vos anciens modèles, mais à des montants assez variables : 450 € pour un TM6, 250 € maximum pour un TM5 et seulement 150 € pour un TM31.
Alors offre de reprise ou site de revente en ligne ? Un dilemme classique. Et vous, seriez-vous prêt à échanger votre ancien Thermomix contre le dernier TM7, quitte à y laisser quelques centaines d’euros ? Une réaction, un retour, une anecdote à partager ? Cliquez ici pour publier un commentaire . On lit tout avec attention ! Une erreur s’est glissée ? Vous pouvez également nous en faire part !