Vous est-il déjà arrivé de vous retenir d’aller aux toilettes au lycée, au travail, dans un lieu public ? Et ce, non pas parce qu’il n’y a pas de toilettes, mais par honte ! Honte de devoir gérer la grosse commission dans des toilettes qui ne sont pas les vôtres ? Si cela peut prêter à sourire, le phénomène porte un nom : le poop shaming ou encore « syndrome de la princesse » ! Et cela touche bien plus de monde qu’on ne le pense, surtout la gent féminine. Cela devient même un phénomène sociétal qui inquiète les médecins.
Une récente étude menée par l’IFOP revient sur ce phénomène qui semble s’être intensifié avec la crise sanitaire. Pour François Kraus, directeur du pôle “Genre, Sexualité et Santé Sexuelle” à l’IFOP c’est même un phénomène socio-psychologique dont l’ampleur et les conséquences sur la santé intestinale peuvent être considérables pour la population en général.
Ce « mal » nouveau touche beaucoup plus les femmes que les hommes d’où le syndrome de la « princesse ». En fait, lorsque l’envie de déféquer se fait sentir, ces femmes se retiennent par peur des bruits qui pourraient s’entendre par des tiers. Et cette gêne finit par provoquer des soucis intestinaux.
Ce phénomène n’est pas anodin puisque 3 françaises sur 4 avouent être gênée de déféquer hors de leurs toilettes ! Et elles sont 69% à se retenir toute la journée s’il le faut à cause de cette honte ressentie. La gent masculine semble un peu moins prude vis-à-vis de cette honte ! Les hommes sont 48% à se retenir, et ce sont eux qui ont raison.
Mais pourquoi cette honte ?
Et si cette honte touche plus les femmes que les hommes, c’est selon François Kraus, parce que la société porte un regard plus dur sur elles. Une femme se doit d’être toujours au top, et est plus facilement jugée qu’un homme ! Les clichés ont toujours la dent dure !
Une femme qui va à la selle inspire le dégoût, alors que c’est toléré culturellement pour l’homme. C’est le syndrome de la princesse qui ne fait pipi que des paillettes. Bienvenue au pays des licornes. Personne n’est vraiment à l’aise hors de ses toilettes personnelles ! Et celles où l’on se sent le moins à l’aise sont selon cette étude :
- Les toilettes publiques (61%)
- Les toilettes du lieu de travail (60%)
- Celles d’un ami (57%)
Et cela ne s’arrête pas là puisqu’une femme sur deux avoue même être gênée de faire caca chez elle, si son partenaire est présent !
Quelles conséquences sur la santé ?
Médicalement ce syndrome de la princesse porte le nom de parcoprésie ou rétention fécale psychogène. Une étude parue sur le site Springer Like révèle qu’il s’agit bien d’un problème psychologique.
Les conséquences sur la santé, ne sont pas si anodines que cela. En effet des troubles fonctionnels intestinaux peuvent apparaître rapidement. Ainsi chez les femmes atteintes de parcoprésie, les médecins constatent plusieurs effets néfastes.
- Constipation (41% contre 18% chez les hommes)
- Troubles digestifs (38% contre 22% chez les hommes)
- Crises diarrhéiques (22% contre 11% chez les hommes)
En revanche, cela ne semble pas avoir de réelle incidence sur les irritations du colon qui restent stables pour les deux sexes ! Même quand on est femme, ce n’est pas une honte de faire caca… Tant pis pour les bruits, la santé avant tout non ?
Abonnez-vous à notre Newsletter et suivez-nous sur Google Actualité et sur WhatsApp pour ne manquer aucune invention et innovation !
Il y a même des hommes ils reviennent chez eux ? De même pour la douche il y a des personnes qui ne prennent pas de douche hors de chez eux ?
Qui ne fait pas pipi. Qui ne fait pas caca. Qui ne « pète » pas. Qui ne rote pas..mon Dieu ! L’être humain est stupide. On nous a fait un anus, ca ne sert pas qu’à prendre la température ou pratiquer la sodomie. Arretons l’hypicrisie. J’ai 63 ans et j’ai horreur des clichés. Vivons. On est toutes et tous faits dans un même moule. Soyez vrais
Pourquoi dire caca : mot d’enfant , aller à la selle est plus adulte je trouve !…et moins nunuche .
J’espère que tous ceux et celles qui sont atteints de ce syndrome de la princesse, profitent au moins de leur droit naturel de « PÉTER JUSQU’À 14 FOIS PAR JOUR »… histoire de réduire un tant soit peu les risques sanitaires auxquels ils s’exposeraient.♂️♂️♂️
Point final
Pas fiable comme étude et puis c’est pas si différent que ça les résultats entre les deux sexes.vraiment stérile et nul.se basé sur ça et dire que c’est carrément socio psychologique et une ineptie totale.sans parler de l’appellation erronée qui lui ai a été claqué.pas crédible aussi quand vous allez dans les toilettes publiques vous allez vite voir que c’est pas le cas du tout.vraiment vide cette article et sourtout faux.
si ces dames se contentaient de bouffer ce dont elles ont besoin pour vivre (une feuille de salade par semaine, le reste qu’elles ingurgites : gourmandise et envie, 2 péchés capitaux….parmi le reste dont elles sont reines) plutôt que de vouloir avoir le même apport énergétique nécessaire à un homme, qui ne leurs servent à rien…. elles n’auraient plus à aller au chiottes, ce qui leurs est contre nature aussi.
Qu’elles continuent avoir honte, c’est leurs rétributions, et c’est peu cher payer.
Je vous conseille le jeune intermittent
Effet nettoyage garanti
Intestins libres
Pas de WC en journée et gain de temps car pas de repas en journée