Air-Ink, l’encre issue de la pollution automobile

Découvert sur la plateforme Kickstarter, voici une invention qui ne manque pas d’air – transformer la pollution atmosphérique en encre noire.

Cette innovation est issue du Graviky Labs, une société de Institut de technologie du Massachusetts plus connue sous le nom de MIT. Après trois ans de recherche, ils ont développé un stylo qui utilise les émissions de gaz des pots d’échappements.

Cela est possible grâce à un petit dispositif appelé KAALINK, qui se fixe directement au bout du pot d’échappement. L’appareil capture les polluants sortants et les fait passer dans un système de purification pour en ressortir de l’encre. En effet, de nombreux procédés sont nécessaires afin d’éliminer les métaux lourds et les substances cancérigènes afin d’obtenir un pigment riche en carbone purifié.

 

Ainsi, ce système permet de créer de l’encre d’impression, des marqueurs rechargeables de haute qualité, résistant à l’eau, avec des formats allant de 2mm à 50mm, ce qui donne un large choix.

Sachant que dans le monde on utilise plus d’1 milliard de cartouche d’encre par an, le développement de produit tel que AIR-LINK pourrait devenir très rapidement d’utilité public. Testé depuis 6 mois par de nombreux artistes, le produit s’utilise sur de nombreuses surfaces et d’après les concepteurs, ne représente aucun danger pour les utilisateurs.

 

Pour une sortie prévue en juin 2017, le projet à remporter un grand succès sur Kickstarter, premier prix à partir de 25$.

Soutenir ce projet sur Kickstarter

 

Via : Graviky Labs

Rejoignez nos 900 000 abonnés via notre Newsletter , Google Actualité et WhatsApp

Merieme Bonazzi

Je suis diplômée d'un BTS force de vente et maman de deux grandes filles, je suis rédactrice pour NeozOne depuis presque 20 ans, j'encadre l'équipe de rédacteurs et je m'assure de la qualité des articles. Je partage avec vous mes tests et ma passion de la musique (Reggae, hip-hop, électro, etc.). Passionnée, je suis également créatrice de contenu vidéo et de musique, il m'arrive même de mixer parfois en Région Lyonnaise et dans des festivals. Ah oui, je suis comme saint Thomas, je ne crois que ce que je vois. 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


Bouton retour en haut de la page