
En voilà un que j’aimerais bien avoir chez moi, surtout quand la facture d’électricité me fait les gros yeux ! Depuis que j’ai découvert cette petite merveille, je me dis que je pourrais enfin prendre des douches plus longues sans exploser le budget ! Cette merveille s’appelle Gecko, et a été inventée par la société française Quantia qui propose un chauffe-eau nouvelle génération. Compact et malin, il est, tenez-vous bien, capable de recycler jusqu’à 88 % de la chaleur des eaux usées. Installé à proximité d’une douche, ce petit appareil breveté récupère les calories de l’eau chaude évacuée pour préchauffer l’eau froide entrante. Résultat : jusqu’à 70 % d’économies sur votre facture électrique, et 40 % d’eau économisée. Quantia a dévoilé récemment la version 3 de son chauffe-eau révolutionnaire. Présentation de cette invention qui pourrait (ou qui devrait) équiper toutes les nouvelles constructions : la Planète en serait très satisfaite. C’est parti.
Une technologie discrète, mais redoutablement efficace
Gecko, ce n’est pas juste un ravissant nom d’animal. C’est un dispositif compact, design et écolo, qui se fond dans le décor comme un discret sèche-serviette, mais avec un vrai cerveau thermique. Installé entre l’arrivée d’eau froide et l’évacuation d’eaux usées (généralement celle de la douche), il récupère la chaleur de l’eau que vous venez d’utiliser pour préchauffer la suivante. Astucieux, non ? Le système repose sur un échange thermique à haut rendement, sans jamais mélanger l’eau propre et l’eau usée, évidemment. Une résistance électrique vient ensuite peaufiner la température. Et, tout cela, sans ballon d’eau chaude encombrant.
Un confort optimal et une sécurité bien pensée
Côté usage, Gecko coche toutes les cases. Il fournit de l’eau chaude instantanément, à température stable et sans pic brutal qui vous fait très vite éjecter le jet sur le mur. Et, surtout, il est limité à 42 °C, ce qui évite les brûlures, notamment chez les enfants ou les personnes âgées. Mais, ce n’est pas tout : comme Gecko ne stocke que peu d’eau, il réduit le risque de légionellose, cette vilaine bactérie qui adore les ballons d’eau stagnante. En bonus, aucun risque de tartre grâce à la température maîtrisée, ce qui simplifie l’entretien… et prolonge la vie de l’appareil.
Ce que Gecko fait mieux que les chauffe-eaux classiques
Avantage | Gecko | Chauffe-eau classique |
Recyclage de chaleur | Oui (jusqu’à 88 %) | Non |
Économie d’électricité | Jusqu’à 70 % | Variable selon usage |
Économie d’eau | Jusqu’à 40 % | Non |
Sécurité contre les brûlures | Température limitée à 42 °C | Variable |
Risque de légionellose | Très faible | Présent en cas de stockage |
Design compact | Oui, discret | Encombrant |
Eau chaude instantanée | Oui | Parfois différée selon système |
Une invention pensée pour la durabilité… et le porte-monnaie
Le véritable atout de Gecko, c’est sa philosophie. On ne parle pas ici d’un gadget, mais d’un appareil qui s’inscrit dans une démarche d’économie circulaire, grâce à une ressource souvent négligée : la chaleur perdue. C’est un peu comme si prendre une douche, vous aidait à prendre la suivante, mais moins chère ! Pour ceux qui souhaitent aller plus loin, il est même possible de coupler Gecko à des systèmes domotiques ou solaires. Bref, il s’adapte à tous les foyers soucieux de leur empreinte écologique sans sacrifier le confort.
Son prix n’est pas encore public, néanmoins vous pouvez en savoir plus sur le site officiel : quantia.fr. Et vous, seriez-vous prêts à recycler la chaleur de vos douches pour alléger vos factures d’énergie avec un Gecko chez vous ? Une réaction, un retour, une anecdote à partager ? Cliquez ici pour publier un commentaire . On lit tout avec attention ! De votre côté, vous pouvez aussi relire cet article, que nous avions écrit lors de son lancement. Une erreur s’est glissée ? Vous pouvez également nous en faire part !