
NOM D’UNE FRITE, c’est le nom un peu délirant, mais bien trouvé de cette véritable graisse de bœuf pour frites, vendue 26,90 €* les 2 kilos au lieu de 29,90 € sur Amazon. Et, si je vous en parle aujourd’hui, c’est qu’un certain Belge, prénommé Michel, rencontré par hasard en vacances cet été m’a, comment dire, légèrement secouée dans mes habitudes de cuisson. Lui : passionné de frites dorées. Moi : huile de tournesol, friteuse sans prétention et résultat moyen. Bref, il n’a pas mâché ses mots : « Vos frites sont horribles, arrêtez de les cuire dans l’huile ! ». Voilà comment une simple conversation de voisinage a changé ma façon de cuisiner. Et, le pire ? Il avait raison. J’aime les expériences culinaires, alors j’ai tenté la graisse de bœuf, voici mon retour d’expérience !
Un choc culturel en vacances et un coup de cœur en cuisine
L’an dernier, donc, en vacances, je sympathise avec un voisin de camping belge. On parle météo, moustiques, football, et frites, évidemment. Quand je lui dis que je trouve les miennes un peu molles, il explose de rire : « C’est normal, vous utilisez de l’huile ! En Belgique, c’est de la graisse de bœuf, voyons ! » Alors, j’avoue, j’étais curieuse. À peine rentrée, je commande deux kilos de graisse de bœuf « Made in Belgium » sur Amazon. Et, là, surprise : cela arrive emballé comme du beurre, en blocs solides, bien loin de mon bon vieux bidon d’huile.
Une recette simple, mais deux fois plus croustillante
Le mode d’emploi ? Exactement comme l’huile ou presque. Il faut faire fondre la graisse dans votre friteuse ou votre poêle, jusqu’à ce qu’elle soit bien chaude (130-140 °C pour commencer). Ensuite :
- Plonger les frites environ 6 minutes jusqu’à ce qu’elles remontent à la surface.
- Les sortir et laisser reposer un petit moment.
- Puis les replonger une seconde fois, à 165-170 °C, jusqu’à ce qu’elles soient dorées à votre goût.
Chez moi, on a un débat familial : ma fille les aime « presque cramées », moi dorées à point. Et, c’est bien là la beauté de cette méthode : chacun peut adapter !
NOM D’UNE FRITE, c’est vraiment autre chose
Alors non, je ne suis pas devenue cheffe étoilée en une cuisson. Mais, le goût des frites dans la graisse de bœuf ? Nom d’un Manneken Pis, c’est autre chose ! Une croûte dorée, un croustillant que je ne connaissais pas, et cette petite saveur en plus… indéfinissable, mais addictive. Michel avait raison sur toute la ligne. Et, s’il me lit : merci de m’avoir dit que mes frites étaient « dégueu ». Tu peux revenir quand tu veux maintenant que je cuisine des « frites Belges ».
Les 10 secrets des meilleures frites belges
Parce que la cuisson ne fait pas tout, voici les 10 commandements de la frite parfaite (directement transmis par les initiés) :
- Choisir une variété adaptée comme la Bintje
- Ne pas couper les pommes de terre trop à l’avance
- Toujours bien sécher les frites avant cuisson
- Utiliser du blanc de bœuf non raffiné
- Ne jamais mélanger graisse neuve et ancienne
- Remplacer la graisse après 8 à 10 cuissons au maximum
- Cuisson en deux fois impérative
- Pas d’autre aliment (poisson, nuggets…) dans la même friture
- Attention à la température : plus elle est haute, plus vite la graisse s’use
- Ne pas laisser de résidus dans la friture
Entre nous, si vous aimez les frites croustillantes, dorées et authentiquement belges, il faut vraiment essayer la graisse de bœuf NOM D’UNE FRITE. En plus, elle est en promo à 26,90 €* les 2 kg sur Amazon. Et vous, seriez-vous prêt à dire adieu à l’huile et bonjour au croustillant à la belge ? Comment cuisinez-vous vos frites ? Une réaction, un retour, une anecdote à partager ? Cliquez ici pour publier un commentaire . On lit tout avec attention ! Une erreur s’est glissée ? Vous pouvez également nous en faire part !
* Prix constaté le 6 août 2025, susceptible d’évoluer. Le site NeozOne ne saurait être tenu responsable d’éventuelles variations appliquées par le vendeur.