Faire baisser les émissions de gaz à effet de serre doit devenir une priorité

Le changement climatique n'est plus une théorie, on en ressent tous les conséquences au quotidien.

Depuis la révolution industrielle, et l’exploitation des filons de charbon, l’homme a largement décuplé ses émissions de dioxyde de carbone. À la suite de cela, ce fut le tour des hydrocarbures. Un demi-siècle après, les scientifiques ont déjà décelé un changement notable de la température, et une aggravation significative des aléas climatiques. Le mot changement climatique est lancé et fait maintenant partie de notre vocabulaire.

L’homme a toujours eu besoin d’énergie, tant pour se réchauffer que pour sa nourriture. Avec le temps, tout dans sa vie dépend largement de toutes les énergies possibles, et l’électricité est actuellement la plus utilisée. Dans les faits, la vie de l’homme moderne est tout juste dépendante du courant électrique. Les blacks outs sont même vus comme des catastrophes sans nom.

Pour la protection de la nature toutefois, la communauté internationale s’est réunie et a réellement approuvé des actions pour aller contre cette vague de détérioration. Ainsi, lutter pour faire baisser l’émission de gaz à effet de serre est devenu une priorité, et avec cela, contrer aussi l’effet de ces gaz et aérosol pour ne pas aggraver la situation des trous dans la couche d’ozone.

Les gaz à effet de serre en premier lieu

La houille est certainement un des pires produits qui exacerbe le réchauffement climatique. L’effet des gaz issus de sa combustion est juste immense. La plupart des villes ont peut-être cessé d’utiliser des machines à vapeur, avec la combustion des charbons, mais bon nombre de centrales thermiques en utilisent encore. Effectivement, même les centrales nucléaires utilisent aussi des turbines à vapeur, mais c’est une tout autre affaire.

Après cela, il y a aussi la combustion des hydrocarbures. Cela concerne surtout le transport, et que ce soit à essence, diesel ou même du fioul lourd comme les bateaux ou des groupes électrogènes. En 2015, le monde s’est réuni pour faire un effort et limiter le réchauffement climatique à 2 ° Celsius, et même 1,5 ° Celsius

Les effets de l’urbanisme pour le climat

Selon des recherches, c’est surtout les zones urbaines qui sont à l’origine de l’émission de la majorité des gaz à effet de serre. Cela est juste logique puisque c’est encore et toujours l’homme qui est le seul pollueur. On peut en conclure que plus il y a d’humains, plus une zone sera pollueuse. Cela ne concerne pas juste les ménages, mais surtout pour la consommation d’énergie des villes et le besoin de transport qui concentre dramatiquement les voitures à moteur à combustion.

Des solutions viables et efficaces

La volonté est là, mais la politique n’est pas encore assez ferme puisque ce pas aura un coût assez conséquent. On peut trouver actuellement des pays qui interdisent les diesels, jugés plus polluants, dans leur zone urbaine. Il y a d’autres qui ont décidé d’interdire la vente de toute nouvelle voiture à moteur à combustion en 2030. C’est déjà des initiatives louables. Dans le privé, il y a aussi le cas des constructeurs qui commencent à s’intéresser aux voitures électriques. Avec zéro émission carbone, difficile de faire mieux.

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