Les résultats sont tombés, et l’alcool, déjà dans le collimateur des scientifiques, a encore montré des risques plus que sérieux. La veisalgie, connu encore communément sous le terme « gueule de bois », est peut-être bien une preuve que le corps humain n’en veut pas.
Il s’avère que les avancés de la médecine, et de la science globalement, ne cessent de mettre à jour les retombés de l’état d’ébriété. Le cancer est actuellement une des plus grandes menaces mis en évidence, après les crises de foie. En effet, avec la stéatose du foie, on ne cesse de déconseiller l’alcool.
Dernièrement, une publication dans « Lancet Oncology » a démontré de manière assez évidente la relation entre alcool et le cancer, en plus de ce que l’on en sait déjà. Les chercheurs approfondissent de plus en plus leurs recherches sur ces breuvages. Ils ne cessent ainsi de mettre à jour des détails éclaircissant chaque effet sur le genre humain.
Les oncologues contre les œnologues
Pour arriver à cette conclusion, il a fallu des années d’études et plusieurs laboratoires de par le monde. Ainsi, ce sont des oncologues nord-américains, européens et africains qui ont compilé leur résultat pour davantage de crédibilité. Ils donnent ainsi de leur personne pour le bien être de l’humanité.
Il est probable que leurs actes ne leur feront pas davantage de bien puisqu’ils tendent à diminuer le nombre de leur client. Cependant, l’idée est surtout de guérir et de faire en sorte que d’autres ne tombent pas malades. Dans les faits, ce sera toujours bénéfique puisque moins de cas à traiter permettent de mieux traiter les cas déjà malades.
Un peu, c’est déjà trop
Ça fait assez longtemps que le cancer du foie, de l’œsophage et des seins ont été dépisté à cause de l’alcoolisme. Mais qui dit alcoolisme dit une consommation considérable d’alcool. Cette recherche a établi que les risques, bien que moindres, existent bel et bien. Et cela même si l’absorption n’est que modérée, voire légère.
A raison de rien qu’un verre par jour, le taux a atteint les 100.000 cas l’année 2020. Pour ce qui est de l’ensemble des cas, c’est le chiffre astronomique de 741.300 cas qui est avancé. Juste énorme. C’est pratiquement 4,1 % des cas dépistés cette année-là. Il est alors vraiment grand temps de suivre les recommandations du « à consommer avec modération« . En effet, 1 ou 2 verres occasionnels peut être largement suffisant pour l’apéro time.
Les statistiques l’annoncent
On est bien face à une réalité inquiétante. Ce résultat est surtout issu d’une étude statistique de la concordance de ces nouveaux cas, et de leurs habitudes éthyliques. En vérité, l’alcool est biocide. Le foie, on ne cessera de le mentionner dans les histoires d’alcool. Son rôle est justement de casser les molécules de ce poison pour qu’il en résulte des composés plus supportables pour l’organisme. Cependant, s’il y en a trop, le foie est saturé, et c’est là que commencent les complications qui conduisent aux maladies les plus connues.
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